La rivoluzione dei fotoromanzi
Sogni d’amore e voglia di libertà
Un’invenzione italiana che veicola i contenuti del romanzo d’appendice e del rosa con gli strumenti del fumetto e della fotografia, con lo sguardo rivolto al cinema. Il successo di questo «cinema dei poveri» nel Dopoguerra è immediato tra sogni d’amore e voglie di libertà. La storia del fotoromanzo è legata alla figura di Cino Del Duca, ferroviere divenuto «re della stampa rosa». Il libro di Isabelle Antonutti, «Cino Del Duca. Un editore tra Italia e Francia» (Franco Angeli), ne racconta l’avventura imprenditoriale...lire la suite sur Il Corriere della sera, 5 dicembre 2015
Cino Del Duca : de la presse du cœur à la BD…
7 juillet 2015
Par Henri Filippini
CRITIQUE DE Vittorio Frigerio sur la revue Belphegor
" Avec cet ouvrage soigneusement documenté et qui se lit presque plus comme un roman d’aventures que comme une biographie, Isabelle Antonutti retrace la carrière d’un patron de presse d’un genre on ne peut plus particulier, self-made-man à l’éducation parcellaire, militant socialiste en sa jeunesse, émigré en France sous le fascisme pour des raisons au moins aussi économiques que politiques, qui a crée certains des titres les plus connus et vendus de l’édition populaire du vingtième siècle des deux côtés du Mont Blanc. Cino Del Duca commence sa carrière dans l’édition en distribuant les publications d’autres maisons spécialisées dans les romans populaires, avant de donner naissance à des titres d’une longévité et d’une importance considérable dans l’histoire du fumetto italien, comme Il Monello et L’Intrepido. En France, à côté des productions de cet autre immigré, Paul Winkler, ses journaux, dont Hurrah ! et L’Aventureux, véhicules de la bande dessinée d’aventures américaine, ont été à l’origine de l’âge d’or de la BD.
2Isabelle Antonutti reconstruit avec une abondance louable de détails aussi pertinents que fascinants le trajet de cet homme d’affaires improbable, qui sonde les goûts du public en interrogeant les ménagères dans la rue et les enfants à la sortie des écoles, et parvient à se tailler une place de premier plan dans le panorama de l’édition populaire européenne. Un brin hâbleur à l’occasion, amateur de belles voitures et de belles femmes, Cino Del Duca , travailleur infatigable et grand preneur de risques, revit à travers ces pages avec tout l’éclat des illustrations de ses imprimés les plus célèbres, avec ses nombreux mérites, mais aussi avec ses limites claires ; avec sa générosité et sa sympathie humaine, et avec ses ambiguïtés, ses louvoiements d’homme d’affaires toujours en quête d’une bonne occasion dans un marché européen affamé de productions fictionnelles passionnantes et déstabilisé par les tensions politiques qui conduiront à la guerre.
Pendant la guerre elle-même, le parcours de l’éditeur – qui parvient encore à publier, cas rarissime, en zone sud comme en zone nord – est pour le moins problématique. Isabelle Antonutti reconstruit avec beaucoup de rigueur les déplacements nombreux de Cino Del Duca pendant le conflit et déconstruit avec application ses narrations auto-hagiographiques. Elle retrouve ainsi un personnage complexe, doté d’un entregent peu commun, qui mêle connaissances et fréquentations provenant d’horizons politiques incompatibles et parvient, malgré les doutes très légitimes de sa biographe, à se faire octroyer à la fin de la guerre des attestations certifiant de ses qualités de résistant. Quoi qu’il en soit, qu’il ait été pendant cette période un agent double ou plus simplement un mordu de la presse, disposé à tout faire pour poursuivre son métier, Del Duca est de nouveau bientôt sur la brèche. Il crée alors Nous Deux, le journal des romans-photo, dont le succès ne se démentira jamais.
Devenu le roi incontesté de la presse du cœur, avec quantité de revues à son actif tout aussi bien en France qu’en Italie, Del Duca songe à se diversifier et à chercher une forme de consécration culturelle, alors même que l’église et le parti communiste critiquent conjointement les effets néfastes, moralement et idéologiquement parlant, que la lecture de ses revues aurait sur l’esprit des femmes du peuple. Dès les années cinquante, cela l’amènera à se lancer dans la production cinématographique (c’est grâce à lui, notamment, que sortiront des classiques comme « Touchez pas au grisbi » et « Accattone ») et dans l’édition littéraire (avec un succès nettement moindre).
Une des constantes du parcours éditorial de Cino Del Duca semble avoir été la désorganisation. Pour le dire avec les mots de l’auteure : « La recherche de la rentabilité ne laisse aucune place à la cohérence » (139). En dépit de cela, la bataille continuelle des époux Del Duca (car il ne faut pas oublier sa femme Simone, figure importante de la maison) pour acquérir un minimum de reconnaissance symbolique, contre le « lourd discrédit culturel et professionnel » (143) qui continue de peser sur la presse populaire, rythme le parcours d’une aventure éditoriale qui a laissé des traces profondes dans l’imaginaire français.
6Si un des buts d’une bonne biographie est celui de donner au lecteur l’envie d’avoir connu personnellement son sujet, il est ici pleinement atteint. Arrivé au bout du volume, il est difficile qu’on ne regrette pas de ne pas avoir eu l’occasion de croiser le chemin de ce monstre sacré de l’édition – que les délateurs de son pays natal indiquaient a la police fasciste comme évidemment incapable de diriger une maison d’édition du fait de sa scolarité très limitée –, doué d’une ténacité à toute épreuve qui, à elle seule, compense largement la liste pourtant longue de ses carences.
Qu’était donc Del Duca ? Un « self-made-man » à l’américaine ou un « parvenu » à la française ? Sans doute un peu des deux. Le mérite de cet ouvrage est surtout de mettre en lumière les multiples facettes du personnage sans céder à la fascination ou à l’évocation mélancolique, et de reconstruire à travers lui toute une époque et des usages de lecture naguère encore universels, maintenant déjà presque désuets. Isabelle Antonutti signe ici un livre important pour l’histoire de la presse européenne et pour celle du développement de la culture médiatique."
Source :
Vittorio Frigerio, « Antonutti, Isabelle. Cino Del Duca. De Tarzan à Nous Deux, itinéraire d’un patron de presse », Belphégor [En ligne], 11-1 | 2013,
La Fabrique de l'histoire, France culture, le 24 mai 2013, une critique du livre par Severine Liatard. A écouter en podcast, la critique se situe à la 36 minutes de l'émission
Une critique de LOÏC ARTIAGA « Comptes
rendus. Histoire culturelle », Annales.
Histoire, Sciences Sociales 3/ 2013 (68e année), p. 851-939
URL : www.cairn.info/revue-annales-2013-3-page-851.htm.
Isabelle Antonutti Cino Del Duca. De Tarzan à Nous Deux, itinéraire d’un patron de presse Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2012, 221 p. 300
D’une thèse d’histoire soutenue en 2012, Isabelle Antonutti a tiré un ouvrage condensé, centré sur la vie et les entreprises de Cino Del Duca (1899-1967). Comme le précise le sous-titre, elles sont saisies « de Tarzan à Nous Deux », autrement dit de la presse dédiée à la jeunesse à celle « de genre ». L’empire Del Duca s’étend toutefois à d’autres domaines des industries culturelles, comme le cinéma ou l’édition littéraire. Son chiffre d’affaires le place dans les années 1960 à la quatrième place des groupes de presse de l’Hexagone. L’auteure prolonge les travaux entrepris depuis les années 1980 sur le capitalisme d’édition en France par Jean-Yves Mollier, qui signe ici la préface. Elle mobilise également les résultats des études sur les publications sérielles dédiées à la jeunesse et aux femmes que Thierry Crépin et Sylvette Giet ont explorées à la fin des années 1990.
Né dans les Marches, Del Duca se distingue par un engagement militant précoce dans le cercle Liebknecht d’Ancône. Il rencontre un premier succès commercial à Milan avant de s’installer en France en 1932. Ses diverses activités permettent de questionner les rapports entre médias de masse et politique, d’interroger les circulations européennes dans le domaine des imprimés populaires, de scruter en regard les évolutions formelles de la presse des années 1930 et de l’après-guerre. L’étude d’I. Antonutti se divise en trois parties chronologiques : « Les années d’apprentissage, 1899-1932 », « La réussite, 1932-1952 » et « La reconnaissance, 1952-2004 ».
L’auteure choisit comme scène inaugurale la battue anticommuniste dont Del Duca aurait été l’une des cibles en 1922. Consciente de l’instrumentalisation postérieure qu’a faite l’éditeur de cette scène, I. Antonutti tente de révéler les ombres et méandres du parcours de l’homme de presse : résiste-t-il ou compose-t-il avec le nouveau pouvoir fasciste ? Supporte-t-il la révolution nationale après 1940 ou aide-t-il les réseaux de la résistance italienne ? Falsifie-t-il son passé pour éviter l’épuration qui touche la presse dans l’immédiat après-guerre ? Les publications des frères Del Duca sont-elles proches du Parti communiste italien à qui est un temps proposé de réfléchir au contenu de Grand Hôtel ou se contentent-elles de suivre au plus près de l’air du temps, fut-il franchement nauséabond ? L’étude d’I. Antonutti n’occulte aucune des questions que pose « l’itinéraire sinueux » de Del Duca. Elle croise des sources diverses : une trentaine d’entretiens, des archives italiennes et françaises (police, commerce, presse). Les archives des Éditions mondiales, dont on ne connaît pas la situation de conservation, auraient pu donner des informations utiles sur leur fonctionnement et leurs capitaux autrement qu’à travers la presse professionnelle et économique que l’auteure a dépouillée.
C’est comme représentant chargé de vendre des romans en feuilletons et des fumetti que Del Duca débute dans l’édition en 1923. L’expérience le conduit en 1928 à fonder avec ses deux frères la Casa Editrice Moderna. Le succès est rapide. Amorcé par l’édition de romans d’amour et de sagas patriotiques comme Cuore garibaldino, il se maintient grâce à des périodiques qui privilégient la création italienne et les fumetti inspirés des séries étatsuniennes, qui « accommodent le plus possible le mythe du héros fasciste aux aventures rocambolesques qui font le miel des jeunes lecteurs » (p. 35).
Séparant ses activités de celles de ses frères en gardant la propriété des rotatives, Del Duca choisit de s’installer en France. Depuis le siège parisien des Éditions mondiales qu’il fonde en 1934, il vise l’Europe, adaptant les recettes qui ont fonctionné en Italie, créant des filiales en Suisse, en Belgique et en Espagne. Le déferlement de la bande dessinée étatsunienne le pousse à investir dans les hebdomadaires illustrés pour la jeunesse. En 1935, il lance avec réussite Hurrah ! Sans trop se soucier du droit et de la mise en page, il adopte les us de l’époque, « trafiqu[ant] les planches, les coup[ant], les adapt[ant] au format, change[ant] les couleurs, modifi[ant] les dessins, agrandiss[ant] les strips pour que la série dure plus longtemps, gomm[ant] le copyright, le nom de l’auteur » (p. 49). Hurrah ! réussit à concentrer les critiques des intellectuels communistes et des censeurs catholiques, l’abbé Bethléem accusant les productions de Del Duca de « corrompre et abêtir » ses lecteurs.
Installé dans le IIIe arrondissement, quartier des grands journaux et des imprimeurs, Del Duca marque au début de la guerre son hostilité envers l’ennemi. Il publie le fameux tract Cherchez la 5e bête féroce, où la figure d’Adolf Hitler naît de la superposition d’un loup, d’un tigre, d’une hyène et d’un serpent. Mais Del Duca maintient son activité sous l’Occupation, diffusant ses périodiques en zone libre et en zone occupée. Forcé de limiter le volume de papier, il réduit le nombre des pages mais ne néglige pas d’envoyer une photo du maréchal Pétain à chaque nouvel abonné de L’Aventureux. L’éditeur se rapproche des milieux collaborationnistes et participe au lancement de l’hebdomadaire féminin Sensations, qui vante à chaque numéro, en double page, « un domaine d’excellence de l’Allemagne » (p. 77). Protégé par les témoignages de résistants devenus ses employés, Del Duca n’est pas inquiété à la fin de la guerre. Il perd toutefois ses sociétés en Italie, en Espagne et doit diversifier ses activités, misant sur l’essor prodigieux de la « presse de cœur ». L’éditeur orchestre « lui-même la compétition afin de saturer le marché » (p. 100), avec quatorze titres entre 1948 et 1963, dont Intimité et Nous Deux.
Les condamnations morales dont ses publications font l’objet, mais aussi la nécessité de varier ses investissements, conduisent Del Duca à se lancer dans de nouveaux secteurs. Il est à la fois producteur de cinéma, éditeur de livres nobelisés, libraire. Il diversifie également ses titres de presse, participant à la naissance d’Il Giorno en 1956 et, un an plus tard, coordonne la mue de Franc-Tireur, journal né clandestinement en 1941, en Paris Journal. Il tente en 1960 un éphémère et masculin Lui, puis se lance à la fin de sa vie dans la presse dédiée à la télévision, avec Télé Poche. Les Éditions mondiales sont cédées à un consortium d’investisseurs en 1980 qui se sépare, dans la décennie suivante, des imprimeries du groupe. Simone Del Duca entretient la mémoire de son mari, créant une fondation à leur nom en 1975. Elle perpétue la volonté de Del Duca de se détacher symboliquement du rang d’éditeur pour les masses et récompense intellectuels et chercheurs de renom.
L’étude d’I. Antonutti permet de poser des problèmes de méthode : faire l’histoire d’un patron de presse, est-ce réaliser la biographie d’un homme ou travailler sur ses publications et les sociétés qui les ont diffusées ? Peut-on se passer d’une histoire totale, incluant dans son périmètre de recherche les imprimeries, leurs ouvriers et leurs machines, dont la maîtrise est pourtant cruciale dans le dispositif des Éditions mondiales ? L’auteure oscille entre le choix de la biographie et l’étude des publications, sans parvenir à livrer une analyse en profondeur des titres des Éditions mondiales, et laissant en suspens des pans importants de la vie de l’éditeur : que lit-il, quels sont les réseaux d’affaires et de sociabilités dans lesquels il s’insère successivement et comment fonctionnent-ils ? Elle ne parvient pas non plus à expliquer les allers et retours opérés par Del Duca entre la France et l’Italie dans les années 1940, et laisse planer une ambiguïté sur son engagement à la fin de la Seconde Guerre mondiale. C’est finalement le génie de celui qui « n’invente rien, reprend ou débusque ce qui plaît au public » qui est placé au cœur de l’ouvrage et que l’on voit se déplacer sur différents objets. Situé sur un terrain d’étude défriché de façon ponctuelle par les historiens, le travail d’I. Antonutti fournit une monographie utile, qui doit aider à penser les transferts culturels qui s’opèrent en Europe dans le monde de l’édition de masse des années 1930 aux années 1960, autant que les rapprochements et les concentrations réunissant le monde de l’imprimé et les différentes industries du divertissement. La déconstruction salutaire de l’hagiographie que livrent Cino puis Simone Del Duca et leurs proches de la vie de l’éditeur justifie à elle seule l’intérêt de multiplier les travaux d’historiens sur les industries culturelles dominant leur champ au XXe siècle. Leurs agents s’adonnent à un travail de mise en récit « maison » masquant leurs intérêts ou leurs engagements, et auquel ils ont les moyens de donner l’écho.
Cahiers Robinson n°33
Cahiers robinson, une publication du centre de recherche Textes et Cultures de l'
" Si le nom de Cino Del Duca est bien connu, la personne l’est beaucoup moins, quand sa réputation n’est pas ternie par les calomnies venues des milieux les mieux pensants. L’ouvrage reprend donc cette existence dès ses débuts, fort modestes, à l’extrême fin du XIXe siècle, dans la province italienne des Marches puis dans la ville d’Ancône où la misère a poussé sa famille. Cet homme que l’on a soupçonné de frayer ensuite avec le fascisme milite alors dans les Jeunesses socialistes dont il suscite en 1920 l’adhésion à l’Internationale communiste. Avec la dictature de Mussolini, il est inquiété, perd son emploi dans les chemins de fer et, plutôt que de poursuivre un combat pour lequel il ne semble pas fait, se lance dans un nouveau métier, celui de vendeurs de romans populaires. C’est le premier pas dans le monde de l’imprimé, ce jeune homme qui sait lire mais qui ne sera jamais un intellectuel s’initiant au monde du livre et du magazine, alors influencé par le modèle américain. C’est là tout le sel de cette existence, et en 1918 la création, avec deux de ses frères, d’une première société où il privilégie d’emblée une inspiration sentimentale « facile ». La réussite ne tarde pas mais pour diverses raisons Cino part pour la France où il lance en 1935 l’hebdomadaire pour la jeunesse Hurrah !
Le domaine de l’enfance constitue pour Del Duca un domaine à la fois important et secondaire, qu’il finira par abandonner. On peut dire qu’il se présenta à lui et que les circonstances l’amenèrent à y développer son activité à la fois intense et brouillonne. L’auteur insiste sur les pratiques irrégulières de l’homme, sur son instabilité liée sans doute à l’absence de toute préoccupation intellectuelle, du moins dans le sens où on l’entend dans les milieux éducatifs. Ce déplacé, ce communiste qui vendait des comics, ne pouvait que s’attirer l’hostilité de tous les partis. Mais c’est quelqu’un qui s’adapte, qui compose, avec le fascisme dont il est l’ennemi presque instinctif, avec les autorités allemandes et celles de Vichy, sous l’Occupation, parce qu’il faut bien vivre et aussi parce qu’importe surtout la possibilité de continuer à éditer.
Après la guerre, le Cino del Duca tel que nous le connaissons se déploie véritablement, en développant la presse sentimentale et Nous Deux, qui sera en 1957 le magazine français le plus vendu. Comme la presse enfantine, ces journaux pour femmes réputées ignorantes provoquent un discours sur leur aliénation supposée. Ce qu’il faut relever, c’est que l’éditeur suit son chemin propre mais qu’il n’est pas indifférent à ces critiques, et la dernière partie de l’ouvrage montre tout un travail de légitimation passant par diverses entreprises, notamment la production de films et l’édition de romans, dont la rentabilité n’est pas le premier objectif. Concernant le cinéma, le premier film produit sera Touchez pas au grisbi de Jacques Becker, mais on relève aussi Le Ballon rouge d’Ernest Lamorisse, un des premiers films vraiment destinés à l’enfance. En 1964 pourtant Cino Del Duca cesse d’éditer pour ce public. Il se lancera dans la presse quotidienne, dans le mécénat, bref il sera l’un des maîtres d’un monde dont tout l’éloignait à sa naissance, comme du reste nombre de ses concurrents venus des régions les plus pauvres de l’Europe. Cet ouvrage sérieusement documenté se lit donc un peu comme un roman, si l’on admet que ce genre peut englober d’autres genres, y compris celui de l’enquête scientifique."
Francis Marcoin
A Blois, le samedi 19 octobre 2013 à 15 heures, à la Fondation Ben (café Fluxus) conférence sur Cino Del Duca
Un article dans La Nouvelle République
Médiathèque de Puteaux (vendredi, 25 octobre 2013 10:58)
Conférence
Littérature populaire et culture médiatique (vendredi, 25 octobre 2013 10:54)
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